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mercredi 10 juin 2009

Il y a de ces choses que l'on ne comprendra jamais.
Des mots, des actes que vous avez attendu pendant tellement de temps. Vous en rêviez jour et nuit. Vous ne viviez quasiment que pour cela.
Puis, est venu le moment où vous avez jeté l'éponge, ou vous avez arrêté de croire qu'il y avait des possiblités que tout cela se réalise.
Pourquoi faut-il que ce soit justement à ce moment-là, que les mots et les actes tant espérés, surviennent.

Je ne sais plus quoi faire ni penser.

what we could have been, 05:47.
samedi 16 mai 2009

Idée de vie nouvelle n°3 : Apprendre à oublier.








what we could have been, 05:28.
vendredi 15 mai 2009

Tu seras aimée le jour où tu pourras montrer ta faiblesse, sans que l'autre ne s'en serve pour affirmer sa force.

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Oui t'es parti, ou plutôt je suis partie. Et aujourd'hui ça va, ça va mieux. Et ça me fait tout drôle de dire que je suis plus heureuse sans toi. C'est trop bête, mais c'est ainsi.
Et l'on joue avec sa vie
on jongle avec. Parce qu'elle est longue, mais légère. On joue avec les mots, on sait bien jouer avec les sentiments. Parce que l'on sait amadouer, et attendrir. On sait s'exprimer. Mais surtout manipuler. Notre petit regard de chien battu, bat tout les autres regards. On sait surtout faire souffrir, mais moi j'aime mieux faire semblant. Parce que c'étaient de beaux mensonges, qui me rendaient heureuse. Grande et belle foutaise. Mensonges et hypocrisie. Rien n'est éternel. Et encore moins ce que l'on pensait être éternel. On nous dit que le monde est beau, que tout va bien. On nous prend pour des cons. Tel est le mot, que je suis obligée d'employer. Nous ne sommes plus naïfs. Nous avons grandi.
Peut-être que j'aurais dû te répondre autre chose, peut-être que j'aurais dû te dire que je voulais bien revenir; mais c'était la vérité. Je n'en ai plus envie.

So it's really over.

"Mais encore faut-il accepter tout cela.
Accepter de rester attaché aux gens qu'on a aimé, aussi imparfaits soient-ils,
pour ne pas trahir ce qui a été, pour ne pas trahir ce que l'on est devenus".


Et tu vois, j'aime toujours autant certains souvenirs, mais lorsque je regarde le ciel, je ne pense plus à toi.

what we could have been, 12:21.
dimanche 10 mai 2009

PARTIE 2

what we could have been, 00:01.

PARTIE 1 - FIN


c'est fou de voir à quelle vitesse tu es sorti de ma vie

what we could have been, 00:00.
vendredi 1 mai 2009

On se rencontre, on flirte, on s'embrasse, on se découvre, on rigole, on s'attache, on s'aime, on s'habitue, on s'engueule, on se réconcilie, on prend peur, on se quitte, on s'aime en secret, on promet, on espère, on se déchire, on regrette, on se lasse, on se détache, on n'y croit plus, on copine, on s'engueule, on s'explique, on s'embrouille, on ne se comprend plus, on ne se parle plus,...
Mais on n'oublie pas. On vit avec.

what we could have been, 07:02.
lundi 27 avril 2009

Sometimes, I try so hard to think that you just left with the wrong part of me, but each day, when it's so hard to believe, so hard just to go through this fucking day, I realize how you took the best part of me with who you are. Maybe it's just because it's easy to think that way. And I feel so guilty to let you take this part. Sometimes, it just doesn't matter. Sometimes, it's not worth it. And sometimes, even if I try so hard not to think about you, not to think about the old memories we shared, I can't forget and maybe I don't want to. And it hurts me like hell and I know you know that.

God, sometimes, in times like this, I wish you were here.

what we could have been, 08:17.
lundi 20 avril 2009

Se résoudre à des adieux.

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-artiste:http://lovexevol.com/-

On ne sait plus. Je ne le sais pas. Et je ferme les yeux, et je te regarde. Je me regarde surtout. Et je ne te vois pas, et je me vois trop. Et j'avance, et je me roule, et je fais de moi une petite boule. Et je fais de toi un tas. Un amas de rien. De tout. Et je glisse, et je patine, et je virevolte sans bruits. J'ai chaud, l'air est trop froid. Et ça crie. C'est silencieusement trop agressant. Et je suis là, je me déplace, je change de place. On joue à la chaise musicale, mais il y a toujours deux chaises. Je t'en laisse une, desfois que tu arriverais à temps. T'es toujours absent, et y'a pas de musique. Comportement passif, je te laisserais choisir ma vie à mon détriment. Détruire pour mieux reconstruire. Mourir pour revivre. Je vis, je survis, je te suis et j'prends les commandes et je me conduis. J'bâtis des vies. Je rebâtis, experte en sinistres de toutes sortes. Cynique fin. Et j'te dis n'importe quoi, et ça ne se rend pas. J'répète ce que tu sais, parce que je ne me sais plus. C'est vieux, ce jeu. Il n'y a rien de nouveau. Je ne sais pas quoi rajouter. Vaut mieux rien dire dans ce temps là, je crois. Je vomis du réchauffé, du déjà mâché. C'est dégueulasse, ce qui en sort, après tout ce temps. Faut croire qu'en dedans, ça s'était décomposé et désagrégé. Et pourtant, il y aura toujours des restants qui ne passent pas. Ceux là, ces petits morceaux pourtant si gros ensemble, qui restent pris au travers de la gorge et qu'on ravale, parce que ça ne passe pas, point.
Pour l'instant, tu as ce que tu voulais.


what we could have been, 13:26.
vendredi 17 avril 2009

ça ne me convient pas. ou pas assez. ou plus.











We walked arm in arm-But I didn't feel his touch-A desire I'd first tried to hide,-That tingling inside was gone-And when he asked me:
'do you still love me?'-I had to look away-I didn't want to tell him-That my heart grows colder with each day-When you love someone
But the thrill is gone-And your kisses at night-Are replaced with tears-And when your dreams are on-A train to train wreck town
Then I ask you now, what's a girl to do?-He said he'd take me away-That we'd work things out-And I didn't want to tell him
But it was then I had to say-Over the times we've shared-It's all blackened out-And my bat lightning heart-Wants to fly away
When you love someone-But the thrill is gone-And your kisses at night-Are replaced with tears-And when your dreams are on
A train to train wreck town-Then I ask you now, what's a girl to do?-What's a girl to do? -What's a girl to do?-What's a girl to do?

what we could have been, 10:35.
jeudi 2 avril 2009

"Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases: Le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave." Frédéric Beigbeder

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Troisième fois que je regarde ce film en une semaine T_T.
Mon dvd en est tout perturbé.

Et pourtant, je ne m'en lasse jamais. L'histoire, est certes assez tordue, mais il y a cette musique, ces acteurs (
Oh Louis ♥), ce réalisateur,.. bref, c'est un film magnifique.
Je déteste les comédies musicales, je trouve que ça sonne faux, que ce n'est pas naturel. Sauf que là, tout est vraiment en parfaite symbiose. Les paroles sont réalistes (on s'y reconnaît tellement...), les mélodies sont envoûtantes, et les acteurs ont tellement de talent que lorsqu'ils se mettent à chanter (enfin, façon de parler, vu que ça reste quand même du playback hein), ça paraît toujours très naturel. Comme si la chanson s'invitait au bon moment, et dans la bonne durée.
C'est un film qui parle donc de l'amour (mais sans tomber dans l'excès non plus), de la perte irrémédiable, de l'absence, de la difficulté des possibilités pour sortir la tête hors de l'eau, des émotions,...
Louis Garrel est fatalement formidable. Qu'il a du charme et qu'il est convaincant dans sa façon de jouer. Son personnage est ambigu et complexe. Ce n'est, en revanche, pas le genre de personne que j'aimerais fréquenter.
Par contre, ça risquerait d'être un peu long de s'attarder sur chaque personnage. Si ce n'est de préciser ma totale dévotion à un acteur que j'ai pu revoir dans "La Belle Personne" (autre film de Christophe Honoré, mais cette fois-ci beaucouuuup plus miteux, selon moi). Il s'agit de Grégoire Leprince-Ringuet (quelle voix sensuelle ce petit Grégoire, bon sang. Et quel nom, soit dit en passant).

"Les pieds sur tes terres,
regarde-moi.
Il faudra bien que tu t'avances,
si tu veux combler la distance,
entre nous.
Il faudrait t'accrocher plus fort,
si tu veux t'accrocher encore,
à mon cou.
Sur tes terres il fait si froid,
cet hiver qu'en faire?
Ne vois-tu pas,
que du sol au ciel,
de ton état,
tout n'est que gel."

what we could have been, 03:15.
mercredi 1 avril 2009

Je ne suis qu'une option.

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Asia Argento
Je perds mes mots...
Et je m'y perds.
J'ai réussi à fuir l'illusion,... pour mieux la retrouver.

S
ous tes grands airs de capitaine de mon coeur, tu piétines.
Je collectionne les bijoux et les sacs, j'adore ça. J'ai dix mille carnets depuis des années, dix mille carnets pour tout. J'adore faire des listes, des choses à faire dans mille ans, dans cent ans ou avant la fin de la semaine. Je ne fais jamais mon lit. Je pleure facilement. J'agis souvent sans réfléchir. J'ai une mémoire étirable à l'infini, je n'oublie rien, aucun détail, chaque mot, tout est dans ma boîte. Je suis hautaine pour me protéger, c'est un joli masque, il ne reste que les plus coriaces. Je mens terriblement mal; ça me perdra. Je chante très mal. Je danse très mal. J'ai des jambes qui ne vont pas avec le reste de mon corps. Surtout quand je suis en mini jupe, alors que j'adore ça. Je déteste ma voix. Je veux gagner de l'argent; quelques soient mes études, mon métier, ma situation, c'est une priorité. Je suis beaucoup plus tolérante que j'en ai l'air. Les trucs moches de ma vie, dont les souvenirs sont immuables, je ne les ai jamais dit à personne. Les gens n'aiment pas les albums photos des autres; moi j'adore. J'aime tout ce qui est très petit, et je voudrais construire des maisons de poupées. Je suis très peu soigneuse. Je ne me trouve pas du tout jolie, mais au fond j'essaie de ne pas y penser et je crois que cela ne me dérange plus; et ça me va ainsi. Je suis compliquée, ce n'est pas facile de me supporter. Des fois j'aimerais m'évader loin, loin, très loin d'ici. Je suis une jalouse invétérée. J'ai tellement fait confiance à certaines personnes, que maintenant je me méfie. Moi avec les autres et moi vraie, y a un fossé immense que t'as pas encore traversé. J'ai horreur qu'on ne m'aime pas. Et l'oubli me terrifie. Je ne suis pas mondaine. Je ne suis ni intelligente ni cultivée; mais au final ça se vit bien (et ça se soigne doucement). Je suis étourdie et très maladroite. J'ai du mal à différencier le jeu de la vie. J'ai une putain de carapace que t'as pas encore percé. Je détestais qu'on me touche avant toi. Oui, je connais tes sourires faux et tes approbations parce que tu capitules, et tes soupirs parce que je suis chiante. Je ne te demanderai jamais de faire quelque chose de fou pour moi, mais je ferais n'importe quoi avec toi. Je suis un paradoxe vivant, mais je m'en sors. Je t'a
ime. J'ai une fierté et un égo écrasants. Je devrais même leur donner des petits noms. Je suis rapidement futile. Je peux donner le prix d'un vêtement avant d'avoir vu son étiquette. Ma faiblesse, c'est les autres. Je suis faîte d'illusions. Je perds tout le temps aux jeux de société, mais j'adore ça quand même. Je ne suis pas fragile, au fond, non non, je suis pas en sucre. Je suis ridicule. Je me fais du mal, je m'achève, me lapide. Je ne m'endors qu'avec de la musique. J'ai appris à ne plus avoir de regrets, on ne refait pas le passé. On dit que le Temps répare, moi j'en suis convaincue. Je jure beaucoup. Je suis une vraie langue de vipère, parfois. Je n'ai jamais su ni couper, ni coller droit. Je peux glander des heures sur internet. Ou ailleurs. Je suis efficace, quand je décide de faire quelque chose bien. J'ai du mal à trouver mes mots quand je veux dire quelque chose. Je ne sais pas consoler. Je sais me mettre du vernis et embrasser par contre.
Fais gaffe à toi.

what we could have been, 12:44.
mardi 24 mars 2009

Fusionner, c'est se perdre soi-même.

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"L'angoisse de la perte, tu ne sais absolument pas ce que c'est hein? [...].
ça te conduit à penser que tout est fragile, que tout n'a qu'un temps.
Tu finis par douter du bonheur, douter que ça puisse exister.
Et chaque fois qu'il t'arrive quelque chose de bien dans ta vie, tu sais que ça ne restera pas,
qu'on va te le reprendre à un moment ou un autre..."


Petit poisson deviendra grand
Pourvu que Dieu lui prête vie;
Mais le lâcher en attendant,
Je tiens
pour moi que c'est folie:
Car de le rattraper il n'est pas trop certain

Un carpeau, qui n'
était encore que fretin,
Fut pris par un pêcheur au bord d'une rivière.
"Tout fait nombre, dit l'homme en voyant son butin;
Voilà commencement de chère et de festin:
Mettons-le en notre gibecière."
Le pauvre carpillon lui dit à sa manière:
"Que ferez-vous de moi? Je ne saurais fournir
Au plus qu'une demi-bouchée.
Laissez-moi carpe devenir:
Je serai par vous repêchée;
Quelque gros partisan m'achètera bien cher:
Au lieu qu'il vous en faut chercher
Peut-être encore cent de ma taille
Pour faire un plat. Quel plat? Croyez-moi, rien qui vaille.
- Rien qui vaille? Eh bien! soit, répartit le pêcheur:
Poisson, mon bel ami, qui faîtes le prêcheur:
Vous irez dans la poêle; et vous avez beau dire,
Dés ce soir on vous fera frire."


Un Tiens vaut, ce dit-on, mieux que deux Tu l'auras;
L'un est sûr, l'autre ne l'est pas.




A méditer.

what we could have been, 03:33.
dimanche 22 mars 2009

Aux grands maux, les grands remèdes.
Ou comment s'occuper l'esprit en ces temps de vache maigre (et de doutes planants).



Au menu du jour, un film particulier, un autre spectaculaire et un navet:
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J'avais hâte de voir ce film, j'en avais tellement entendu parler *_*. Et puis mon fantasme le plus fou a le premier rôle (hayden, si tu m'entends). Ce n'était donc pas négligeable.
En définitive, le film raconte l'histoire d'un garçon (canon) très riche qui doit subir une transplantation du coeur en urgence. Mais tout ne se passe pas comme prévu, puisque lors de l'anesthésie générale, au lieu d'être complètement endormi, il voit et entend tout ce qui se passe... Ce qui va lui permettre notamment de découvrir qu'il est l'objet d'un terrible complot.
C'est un film plutôt bien réussi. Les acteurs sont touchants. L'histoire est pleine de suspense, on ne s'attend absolument PAS à un tel dénouement. En revanche, je trouve que c'est beaucoup trop court (c'est rare de se plaindre de la durée d'un film dans ce sens-là), on survole un peu l'ensemble, et du coup certains passages ne sont pas clairs (on ne sait quasiment rien sur les personnages, par exemple, ce qui est assez troublant). Étant hypocondriaque de nature, j'ai eu un peu de mal à regarder certaines scènes (assister à une transplantation du cœur est loin d'être franchement palpitant, sans vouloir faire de jeux de mots).
C'est une histoire très juste sur la manipulation, et le fait que quoi qu'on en dise, l'amour rend tellement aveugle que l'on ne se rend compte de rien, et que l'on pourrait être prêt à faire n'importe quoi...
Jusqu'au moment où l'on se réveille.

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Je suis allée voir "Watchmen" les yeux fermés.
Je ne savais pas de quoi ça parlait, je ne savais pas à quoi m'attendre, mais j'en avais vaguement entendu parler. Visuellement, c'est un film magnifique. Je me damnerai pour avoir le cd de la bande-son, tellement les musiques sont bien choisies. Les effets spéciaux sont spectaculaires, c'est beau, c'est grand, c'est original (je n'avais encore jamais vu de réalisations de ce genre). Les costumes sont superbes (je me damnerai encore une fois pour avoir ceux des personnages féminins *_*).
Après le contenu ne suit malheureusement pas, on ne comprend pas très bien tout (surtout, lorsque comme moi, on ne sait pas grand chose sur l'histoire des Etats-Unis), ça commence de façon très vague, l'histoire part un peu (beaucoup) dans tous les sens, il y a des scènes gores qui auraient pu être largement évitées (hummm que c'est plaisant de voir un gars se faire scier les mains, ou encore, une petite fille brûlée dans un four puis donnée en guise de nourriture aux chiens. bref, je vous passe les détails), des scènes de sexe, dont on aurait bien pu s'en passer. Il faut aussi aimer la vue de sang, on ne voit quasiment que ça (un peu dans le même genre que dans "Gangs of New-York" de Scorcese). Et lorsque par chance, on n'assiste pas à une scène de combats (eh oui, le film est vraiment très violent), on a quand même le droit de voir le sang de la victime s'étaler partout. Par exemple, à un moment, l'un des "héros" va tuer on ne sait comment (puisqu'on voit juste la porte se refermer après lui) un gars dans les toilettes. Une fois qu'il eut fini, il sort des toilettes, puis s'en va. La caméra le suit furtivement, puis revient nous montrer le bas de la porte, et on voit une mare de sang qui s'échappe par en-dessous. Une vision des plus sympathiques.
C'est un film sombre, qui donne un point de vue très pessimiste sur le monde et sur les relations humaines.
Sinon, le dénouement est un peu tordu. J'ai du mal à définir la morale du film. Enfin si, faut-il mentir pour vivre en paix?

Je me le demande bien.
Mais, quoi qu'il en soit, "Watchmen" reste un film intéressant à voir, peut-être uniquement pour les prouesses visuelles.




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Je me suis rarement autant ennuyée devant un film. Les moments les plus drôles (et encore, on est loin d'être au sommet de l'humour quand même) sont tous dans la bande-annonce. Le reste n'est que lenteur, ennui, plateur (si si, inventons des mots). Les personnages sont fades, les dialogues sont barbants. Pourtant j'adore l'humour de Gad Elmaleh, et vu son potentiel, c'est surprenant d'en arriver à un résultat pareil. Il n'y a vraiment rien à en retirer. Le seul moment qui n'est pas dans la bande-annonce et qui n'est pas trop mal, c'est celui où Gad demande à son hum majordome (?) d'origine indienne, où est sa femme et ses deux enfants. Ils communiquent en anglais. Et ça donne donc ça:
Gad - Where is my wife?
Majordome - I don't know.
Gad - Where is Julie?
Majordome - I don't know.
Gad - Where is Samuel?
Majordome - I don't know.
Puis, gros plan sur Gad Elmaleh, qui demande très sérieusement:
"Where is Bryan?"
Et gros plan sur le majordome, qui répond en souriant:
"Bryan is in the kitchen".
Voilà donc l'un des seuls moments que j'ai trouvé drôle (c'est vous dire).
En fin de compte, beaucoup d'excès (toute la promo qui a été faîte autour du film était tellement barbante à force) pour pas grand chose (on en concluera également que tout le monde ne peut pas être réalisateur). Mais bon, comme on dit, l'erreur est humaine, n'est-il pas.

Un film à éviter, donc (pour le bien-être de son porte-monnaie).

what we could have been, 07:29.
mardi 10 mars 2009

Toi je t'aime tout entier.

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A défaut d'être riche, je sais quand même être à l'affût pour m'informer sur les actualités des artistes que j'aime écouter. J'attendais le 9 mars (jour de la sortie du nouvel album d'Indochine, j'ai nommé: "La révolution des météors") avec moult impatience, et ce jour est enfin arrivé (hier, précisément).
Aujourd'hui, j'ai donc arpenté les rayons du magasin dans l'optique de dénicher ce SUBLIME coffret-de-luxe-en-édition-ultra-limitée,
J'adore Indochine, c'est un groupe que j'idolâtre depuis fort fort fort longtemps, je suis complètement sous le charme de la voix de Nicola (et de Nicola tout court), j'aime leur musique, j'aime les paroles de certaines chansons, j'aime leur univers.

A première vue, le coffret s'apparente à un kinder suprise (dans le fond, mais pas dans la forme, je vous rassure), puisque l'on ne sait pas vraiment à quoi s'attendre.
Soit dit en passant, le coffret est tout simplement magnifique. J'adore l'idée qu'ils ont eue pour réaliser leur.. hum.. comment on appelle ça.. photo de couverture? Pour faire simple, la couverture du coffret est la même que celle de la pochette du cd. Et ils ont fait une sorte de photo-dessin-montage, avec de très nombreux clins d'oeil (Rimbaud, Victor Hugo, Sartre, voire même, Nirvana et j'en passe). Bref, c'est fort réussi.
Passons au contenu.
(En grande âme que je suis, j'ai pris la peine de photographier tout ça)
Le coffret comprend le cd en version collector, l'affiche de leur futur show au Stade de France en 2010, le single de "Little Dolls", une photographie en carton et en grand format de chaque membre du groupe, et un pop-up (une petite créa' artistique basée sur la couverture de la pochette du cd).

Passons aux détails.
Le cd est double. Non seulement, on a le droit aux 16 chansons, mais en supplément il y a un cd bonus avec des clips et des reprises. Je n'en dirai pas plus là-dessus, car, aimant me réserver un petit suspense à chaque fois que j'acquiert un nouveau cd, c'est de ne pas tout écouter le jour-même où je l'ai eu. Et du coup, je n'ai pas encore écouté le cd bonus.
Je suis très déçue par les photos cartonnées. C'est pas spécialement joli, on ne voit pas grand chose, et le système du cartonnage est pas terrible. Et puis faut dire aussi que je m'attendais à ce que ce soit Nicola Sirkis pris sous tous ses meilleurs profils 8D. Sauf que non, c'est à peine si on distingue correctement son visage.
Sinon le poster est très classe (comme vous avez pu le remarquer, je vous ai sélectionné la partie la plus intéressante de l'affiche) et il figurera très certainement au-dessus de mon lit, pour me faire rêver à d'autres cieux. Eh oui, je fantasme sur un homme de 47 ans, que voulez-vous.
Bref.
En ce qui concerne le single de la chanson "Little Dolls", il est un tant soit peu inutile je trouve (sauf pour les collectionneurs, mais je n'en ai fait malheureusement pas partie. Ou en tout cas, je ne collectionne pas ça. Mais que collectionne-t-elle donc se dirent-ils 8D?).
Enfin,
(Le must aurait été d'avoir deux places pour leur concert à Rennes en octobre, mais n'en demandons pas trop)

Au niveau chansonneux, j'ai pour l'instant une petite préférence pour "Un ange à ma table", "Le grand soir", et "Je t'aime tant"...

"Mais comment fais-tu pour t'endormir sans moi?
je revois et nos nuits et nos joies
je revois notre vie
je revis"

what we could have been, 12:15.
samedi 7 mars 2009

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Alors que hier soir je m'ennuyais comme un rat crevé (soit dit en passant, quelle expression tordue. Comment peut-on prétendre qu'une fois mort, le rat s'ennuie?), j'eus l'idée géniale, comme à mon habitude lorsque j'ai des idées, de regarder un (vieux) film qui m'intriguait depuis fort longtemps, et dont j'avais entendu beaucoup de choses à son égard.

"Mauvaises Fréquentations" (entièrement disponible gratuitement et légalement sur Youtube) est sorti en 1995 (ahh l'époque où j'avais peur qu'il y ait des loups sous mon lit. BREF), et raconte l'histoire d'une fille de 15 ans, Delphine, innocente et naïve, à qui il n'arrive pas grand chose dans sa vie, jusqu'au jour où tout bascule. L'amour arrive avec Laurent, l'amitié avec Olivia, et les choses qui vont avec tels le sexe, la musique, les discussions à n'en plus finir. Elle a enfin la permanente sensation d'exister. Ses mauvaises fréquentations mèneront Delphine au fond de l'abîme de la passion. On peut tout faire par amour. (résumé mixé avec Allociné)

J'ai découvert l'actrice Maud Forget, et je la trouve tout simplement sublime. Il n'y a pas d'autres mots. Elle est gracieuse, elle a beaucoup de charme, et interprète le personnage de Delphine avec une grande délicatesse. Je suis vraiment épatée par cette actrice. Son jeu rend Delphine très touchante.
Dans l'ensemble, c'est un film pas trop mal (on sent bien que ça date de 1995, mais bon), la mise en scène est toute simple, les acteurs également. L'intrigue est assez tordue (pourquoi les deux garçons sont-ils aussi obnubilés par leur voyage en Jamaïque, au point de prostituer leurs copines pour récupérer l'argent??), c'est dommage.
Mais en fin de compte, on se préoccupe davantage des relations des personnages: manipulation, aveuglement, ignorance, hypocrisie,... Bref, l'Humain et ses vices dans toute leur splendeur. Dans quelques passages, on aimerait bien l'égorger le Laurent, et faire en sorte que Delphine ouvre enfin les yeux, et se rende compte de la réelle réalité des choses.
"On peut tout faire par amour", ne résume pas si bien que ça la morale de "Mauvaises Fréquentations". Je dirai plutôt: "L'amour rend aveugle"...
Cela dit, je n'aime pas du tout la fin, elle est bizarre, trop floue, et c'est au spectateur de s'imaginer ce qu'il veut (grrr je hais les fins comme celle-là ><). En revanche, elle symbolise très bien le fait que les coupables ont certes été punis, et que l'affaire a été réglée d'un point de vue juridique, mais que la blessure et la douleur morales chez Delphine, ne se règleront jamais aussi facilement et aussi rapidement... En définitive, c'est donc un film très réaliste, un peu caricatural par moments, mais il rend bien compte de la réalité de certaines relations qui peuvent être très dangereuses. Et puis, de cette adolescence, où l'on n'est ni enfant, ni adulte, mais où l'on rêve de tout découvrir et tout apprendre... souvent trop vite.


Extrait:
"Être adulte, c'est ne plus rêver, c'est se dire que le voyage est terminé, qu'il faut poser ses bagages.
Être adulte, c'est se résigner, c'est ne plus désirer, c'est se faire une raison.
Je voudrais bien ne jamais devenir adulte, et continuer à croire que ma vie est devant moi, que tout est encore possible.
Je voudrais bien ne jamais m'arrêter. Être au début des choses comme à l'aube du jour. Croire que tout recommencera demain. Que la vie sera belle, changeante.
L'enfant rêve à la vie qu'il aura, l'adulte pleure sur la vie qu'il n'a pas eu.
Peut-on ne jamais devenir adulte?"

what we could have been, 04:24.
lundi 2 mars 2009

C'est bien beau de croire que le style est une façon compliquée de dire des choses simples, alors qu'il s'agit seulement d'une façon simple de dire des choses compliquées. A bon entendeur.

J'ignorais qu'elles étaient venues aux Transmusicales (merci Quentin ><), j'espère bien me rattraper si j'ai la possibilité d'aller les voir en concert, en Avril, à Paris.
J'ai changé? Oui, j'ai changé. Enfin comme tout. Le temps passe, et on se rend compte que finalement, nos croyances du départ évoluent, on ne ressent plus vraiment les mêmes choses. Parfois, c'est devenu beaucoup plus intense qu'avant. D'autres fois, c'est devenu tellement différent, que l'on se demande encore ce qui a pu se passer pour que cela devienne ainsi. Mais j'ai envie de dire, c'est la vie. Il y a des chemins qu'on quitte, qu'on prend, qu'on croise, et ce, indéfiniment. En ce qui me concerne, je ne sais pas vraiment où j'en suis dans certains domaines, c'est relativement confus, et j'espère que cela se dénouera dans les mois à venir. En revanche, il y a de ces moments, de ces paroles, ou de ces actes, qui vous donnent encore plus envie de prendre certaines décisions, de faire certains choix, pas toujours évident, certes. A ce propos, et en toute objectivité, je considère que personne n'est apte à juger de comment l'on doit se comporter, comment l'on doit penser, et comment l'on doit réagir. Nous sommes suffisamment libres et conscients, surtout à cet âge, pour décider, tout seuls. Et ce n'est pas parce que l'on fait telle ou telle chose, que forcément ça veut signifier ceci ou cela. D'accord, on ne peut pas vivre tel un ermite au fin fond de sa forêt (ou de sa montagne, au choix ^^), sinon ce serait bien triste et ennuyeux n'est-il pas, mais il arrive un moment où il n'y a que nous-mêmes qui pouvont juger de nos actes, étant donné que nous sommes les plus aptes à savoir pourquoi nous l'avons fait, mais surtout, parce que nous sommes les seuls à savoir ce qu'on a pu vivre précédemment et comment on a pu le ressentir.

Les mensonges ont la vie dure: une fois démasqués, ils croient qu'ils sont devenus vérités.

what we could have been, 05:26.
vendredi 27 février 2009

L'art de vivre entre parenthèses.
(ou l'art de prendre des photos classes. vous noterez au passage le non-lien de la photo avec l'article, mais la splendeur d'une coloration qui aura duré une semaine [que dis-je, cinq jours] au lieu des 28 shampooings prévus. life is cruel. vous noterez aussi l'étalage non conséquent de mon amour pour un certain "jedaï", eh oui n'ayons honte de rien)

J'ai une existence très particulière en ce moment.
Je ne vais pas en cours, mais je ne suis pas non plus en vacances.
Je ne fais pas grand chose de mes journées, mais je ne fais pas rien non plus.
J'ai un rythme relativement décalé; je me couche tard, je me lève tard, et entre les deux, je mange à N'IMPORTE QUELLE HEURE et N'IMPORTE QUOI.
(soit dit en passant, j'ai pu découvrir ce qu'est le panini à la framboise et je dois avouer que c'est follement divin)
Je jette mon argent par les fenêtres (ah non tiens, ça l'est déjà depuis des lustres), je rêve d'aller vivre à Saint-Malo (rejoindre qui, on se demande bien ah ah ah), je fais des overdoses de chocolats chauds viennois, je passe la plupart de mon temps sur l'ordinateur, je retourne même à mon auto-école (après un an d'abandons, disons que c'est... flippant).

En définitive, on appelle ça les tribulations d'une étudiante lorsque sa fac est bloquée depuis un mois (et à moins d'un miracle, ça n'est pas près de s'arrêter maintenant).

Au début, oui, mon esprit fougueusement fouineux se réjouissait d'avoir plein de cours en moins, c'était la belle vie. Maintenant, c'est à en oublier que je suis à la fac et que je continue mes études (oui, nous avons atteint un sérieux niveau). Et puis surtout je n'ai pas envie de passer mes examens dans six mois, je n'ai pas envie d'avoir un été raccourci, et je n'ai pas envie de rater mon année.

Le coquelicot, ça ne survit pas si on le cueille.


what we could have been, 10:49.
mardi 10 février 2009


"Qu'est-ce que tu veux faire plus tard ?"

S'il y a bien une question que je ne supporte pas d'entendre, c'est celle-là.
Je reviens d'un entretien pour un job, et comme à chaque fois il y a la fameuse question : "qu'est-ce que tu veux faire plus tard?"
Et là, un silence à en réveiller les morts.
Quand j'étais petite je voulais être volcanologue, j'étais persuadée que c'était ce que j'allais devenir, et ce désir quoi qu'un peu surréaliste, je l'avoue, m'a suivie jusqu'au collège (hum n'ayons honte de rien T_T). Et pourtant, à l'heure actuelle, je suis bien loin d'avoir envie d'affirmer au grand jour mon amour des volcans !
Eh oui, je ne sais pas ce que je veux faire comme métier.
Eh non, ça ne signifie pas que je ne sais pas quoi faire de ma vie. J'ai juste un tas d'idées qui fourmillent par-ci par-là.
Peut-être que j'ai envie d'être cultivatrice de maïs au Mexique, ou éleveuse d'éléphants au Kenya. Peut-être que j'finirai call-girl dans un bar, ou hôtesse de l'air.
On nous bassine les oreilles depuis le collège, avec ce qu'on a envie de faire plus tard. Mais rien n'est jamais définitif. Surtout à notre époque, où tout est tellement incertain.
Évidemment, ça fait toujours mauvais genre de répondre qu'on ne sait pas encore, lors d'un entretien professionnel. Du coup, je me vois obligée d'inventer un éventuel métier, (aujourd'hui j'ai donc dit que je rêvais d'être chef de produit. ah ah ah) quitte à improviser, et donner des arguments miteux. En général ça marche, sauf qu'on me demande ensuite : "Mais alors, qu'est-ce que tu fais en langues si tu veux travailler dans le commerce ?". Et pouf ma machine-à-invention-d'arguments-miteux sort : "Oui mais attention, on fait aussi de l'éco, du marketing et de la gestion d'entreprises". (même si au fond de moi, je sais très bien qu'une simple licence de LEA ne mène à rien)

Alors oui, je ne sais pas ce que je veux faire plus tard, je ne sais pas ce que je vais devenir, mais j'ai encore toute la vie devant moi, plein de désirs et plein de projets en tête quand même.
("et ma vie n'est pas foutue pour autant nan nan nan")

what we could have been, 09:04.
vendredi 6 février 2009

Je te désire.


what we could have been, 10:50.
mercredi 4 février 2009

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L'Etrange histoire de Benjamin Button
(soit dit en passant, je n'aime pas du tout le titre, je le trouve mal choisi, moche, et trop long. bon après je ne suis pas rédactrice de titres de films, mais je pense que c'est quand même un élément capital)


J'avais hâte d'aller voir "L'Etrange histoire de Benjamin Button", l'histoire me passionnait (originalement parlant), la bande-annonce était vraiment réussie, je suis donc allée voir ce film cet après-midi, le jour-même de sa sortie (hiiii je suis si incontrôlable xd).
Je me disais : "bouuuh 2h45 de film, mon dieu que ça va être long", et en fait nan, on ne voit pas le temps passer, au contraire, c'est même la bonne durée pour raconter cette histoire, car réduire la longueur aurait fait moins crédible, compte tenu qu'il s'agit un peu d'une "biographie"...

Benjamin naît à 80 ans, ridé, plein d'arthrite, et vit donc sa vie à l'envers.
Les effets spéciaux sur le physique des personnages sont superbement réalisés. On suit l'évolution de chacun d'entre eux. Par exemple, voir
un Brad Pitt adolescent est FRANCHEMENT intéressant (on se dit surtout qu'on regrette de ne pas l'avoir "connu" à cette époque. cruelle vie) Avouons que Brad a un potentiel de charme high level non négligeable, ce qui forcément ajoute un petit côté orgasmique à chacune de ses apparitions (sauf lorsqu'il est âgé, je vous rassure, je ne suis pas encore arrivée à ce stade-là).
Bref, je ne vais pas non plus m'étaler sur les prouesses techniques, car bien que ce soit spectaculaire, ce n'est pas le plus important.
Le film est très moraliste (sans tomber dans l'excès non plus), mais réaliste. Je dirais que les deux grands thèmes qui y sont développés sont l'éphémère et la perte.
Parce que rien ne dure jamais. Chaque moment, chaque vie a une durée, et rien n'est éternel.
C'est une vision pessimiste, certes, mais réaliste.
Il faut savoir profiter de chaque seconde qui s'offre à nous, car on ne sait pas de quoi demain sera fait.
Et puis cette histoire d'amour magnifique, entre Daisy (Cate Blanchett) et Benjamin (Brad), qui commence alors qu'elle est une enfant et lui un vieillard. Une histoire romanesque.

Je ne vous cache pas que j'ai pleuré à chaudes larmes à certains moments, notamment lors de la fin.

Je conclurai par cette citation, qui selon moi est fort bien adaptée à la morale du film :
"Une vie ne vaut rien, mais rien ne vaut une vie".


Plus d'infos sur ce film

what we could have been, 11:01.
mardi 3 février 2009

Je veux mettre sur pause.

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-artiste:
http://lovexevol.com/
-

what we could have been, 06:51.
samedi 31 janvier 2009

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Les Noces Rebelles
Cet après-midi, je suis allée voir ce film. J'en attendais beaucoup car je trouve que Kate Winslet et Leonardo Di Caprio sont devenus de très bons acteurs, loin de leurs personnages un peu niais et naifs de "Titanic", et puis la bande-annonce me plaisait bien.
L'histoire commence par une rencontre, un coup de foudre, bref Franck (Leo) et April (Kate) tombent amoureux l'un de l'autre. Ensuite, tout le reste du film va s'orienter sur les états d'âmes de ce couple: les crises (des scènes très intensément dures), les passions, les désirs, les peurs, les regrets,...
Leonardo Di Caprio et Kate Winslet sont évidemment éblouissants. C'est rare de voir des acteurs aussi impliqués et aussi crédibles, même lorsqu'un scénario tend vers le surréaliste. Leur interprétation est très touchante.
Ensuite, au niveau de la réalisation, on ne peut pas dire que ce soit très bien réussi.
Certes, j'ai trouvé que le fait de mêler flash-backs avec le récit au présent, était une très bonne idée. On comprend mieux le passé du couple, ainsi que les souvenirs qui leurs restent en tête. De plus, les cadrages sont superbes, visuellement c'est très bien fait et très beau. Cela dit, et c'est là le gros manque du film, la réalisation reste très molle et très lente (insistons sur les "très"). Il y a beaucoup trop de passages ennuyeux et inutiles, qui malgré l'EXCELLENTE prestation des deux acteurs principaux, rendent le film décevant.
Pourtant, l'histoire est bouleversante (surtout la fin, atrocement triste), et les répliques des personnages font réfléchir quant à notre véritable vocation. Que voulons-nous au fond ? Et si notre vie n'était pas celle que l'on a toujours voulue ?
La morale du film nous laisse donc perplexe. Est-ce qu'il faut écouter ses désirs, être insouciant, en prenant des risques à vouloir réaliser ses rêves, suivre ce que l'on aime, et trouver un sens à sa vie ? Ou bien faut-il s'adapter à la société, se résoudre à simplement assumer ses responsabilités, ne pas oser quitter une situation confortable, et voir défiler sa vie sans y trouver le moindre plaisir ?
Les deux questions sont en tout cas incompatibles, d'après "Les Noces Rebelles".


Plus d'infos sur ce film

what we could have been, 10:47.

Toutes ces choses que l'on ne s'est pas dîtes.

Je viens d'un autre blog, mais c'est ici que j'atterris.
En fin de compte, ce qui m'importe c'est d'avoir le côté défouloire de créativité, pseudo-journal intime, vide-ordure d'un trop plein de sentiments, espace d'expression sans peur de la page blanche, espace de partage de souvenirs et de bons moments, bref tout-ça tout-ça quoi.
Vous êtes donc ici sur un blog parmi tant d'autres, sauf qu'il s'agit du mien. MON mien. Vous y trouverez donc beaucoup de "moi", mais aussi beaucoup de sujets qui me passionnent. Comme par exemple, le cinéma. Mon plus grand amour *D. Bref, ce blog c'est un petit bout de vie. Je ne dis pas qu'elle est plus intéressante qu'une autre,... je dis juste qu'elle est incroyablement intéressante. Et c'est là toute la nuance.


(Celui qui lit ce profil jusqu'au bout gagne mon admiration et ma reconnaissance éternelle. Et le droit d'exiger que je l'appelle Dieu jusqu'à la fin de mes jours *_*)

En gros, qui suis-je ?
Née un lundi 11 décembre 1989 (soyez généreux ce jour-là), j'habite quelque part en France. Je suis un peu bizarre, un peu folle, un peu distraite. Assez contradictoire dans ce que je dis. Je suis un peu bizarre je vous dis. Je me trouve moche et je n'aime pas me voir en photo. Je déteste la superficialité de notre monde, mais je suis l'une des filles les plus superficielles qui existent sur terre. Je me crois naturelle, alors que je sais très bien que tout chez moi est étudié. Je ne connais pas ma vraie personnalité. J'en ai plusieurs. Je déteste les poufs. Petite, je voulais faire médecine. Je croyais qu'être chirurgienne, c'est comme dans les feuilletons, que t'as juste besoin de dire "Martine, passez-moi le scalpel, et préparez moi 3 mg du produit bleu qui est a coté du savon sur le lavabo", de charcuter un peu les gens comme les souris de dissection en SVT, et finalement d'aller voir les proches de la victime en disant : "je suis désolée, on a fait tout ce qu'on a pu". Je voulais faire ça. Sauver des vies, ça me parait cool, utile. Oui j'aimerais bien être utile. Faire de l'humanitaire. Ou être rock star. Je suis encore innocente, naïve, j'ai encore l'espoir d'être peut-être un jour milliardaire. Je n'ai pas spécialement envie d'être riche, mais si ça me permet d'avoir une belle maison au bord de la mer et de pouvoir aller tous les samedis dévaliser le H&M le plus proche, alors je suis d'accord pour être riche. Faute d'être une collègue de Georges Clooney dans "Urgence", je voulais épouser un chirurgien. Je suis la complexité même. Alors je profite. De l'amour, de la vie, du temps. Pas des gens, parce que c'est malsain. J'aime rire, ohlala oui j'aime ça. Je suis soit euphorique, soit déprimée. Pas de demi-mesure avec moi. J'aime les gens, mes amis, ma famille. Par dessus tout. J'ai besoin de se sentir appréciée, aimée. J'ai besoin d'être rassurée sur ce que je suis, d'être complimentée, d'être adorée. Je suis narcissique, parfois. Je n'ai pas peur du ridicule, même si on me prend souvent pour une idiote, une brune qui ne réfléchit pas. Je suis peut-etre très influençable mais pas non plus la derniere des connes. Je suis juste un peu à l'ouest. J'aime bien écouter les gens. Je n'aime pas spécialement parler de moi. Et qu'est-ce qu'elle est en train de faire là? Exactement l'inverse. Je vous le dis, cette fille est bourrée de contradictions, paradoxes, et antithèses. En plus je dis vraiment n'importe quoi. J'aime les pâtes carbo, le chocolat, les bisous dans le cou, le cinéma, la musique, les poissons rouges, prendre des photos, les parcs d'attraction, faire la fête, recevoir des textos, me mettre en jupe. Je l'aime LUI. Je déteste les insectes, pousser un caddie de supermarché, les préjugés, les légumes, les gens qui font tellement d'abréviations sur msn qu'on comprend plus rien à ce qu'ils disent. J'aime bien écrire aussi. Vous l'avez remarqué? Oui mais là je sens bien que mon texte est une nouvelle fois trop long. C'est un peu mon problème. Je ne sais pas trop abréger. C'est comme pour mes cheveux, je n'aime pas quand c'est trop court. En fait l'article n'est qu'un prétexte pour extérioriser mes sentiments. Pour me soulager. Merci docteur, votre thérapie a parfaitement fonctionné. A bientot pour un nouveau rendez-vous.
Welcome into my mind.
Je vous embrasse. (c'est plus classe que "bisous").

En plus gros :

Un petit questionnaire de Proust ne fait jamais de mal:
Ma vertu préférée: L'honnêteté.
Les principaux traits de mon caractère: Curieuse, Sensible, Passionnée, Compliquée, Gourmande, Amoureuse, Rêveuse, Impulsive, Timide, Rancunière.
La qualité que je préfère chez les hommes: L'humour.
La qualité que je préfère chez les femmes: La délicatesse.
Mon principal défaut: La peur.
Ma principale qualité: Fidèle envers ceux qui le méritent.
Ce que j'apprécie le plus chez mes amis: Leur présence.
Mon occupation préférée: Aller au cinéma.
Mon rêve de bonheur: Ne pas avoir de problèmes.
Quel serait mon plus grand malheur: Avoir une maladie grave, incurable.
A part moi-même, qui voudrais-je être: Asia Argento.
Où aimerais-je vivre? Le Portugal pour mes racines. Les Etats-Unis pour mon devenir.
La couleur que je préfère: Vert pomme et bleu électrique.
La fleur que j'aime: Le géranium de Madère (caldeirao verde) et la rose rouge.
L'oiseau que je préfère: Le colibri.
Mes auteurs favoris en prose: Boris Vian, Anna Gavalda, Bernard Werber.
Mes poètes préférés: Baudelaire.
Mes héroïnes favorites dans la fiction: Scarlett O'Hara.
Mes peintres préférés: Dali et Marc Chagall.
Mes héros dans la vie réelle: Andy Wharhol et Heith Ledger.
Mes héros dans l'histoire: Simone Weil.
Ce que je déteste par-dessus tout: L'hypocrisie.
Le don de la nature que je voudrais avoir: La téléportation.
Comment j'aimerais mourir: C'est très précis: de vieillesse, sans maladie, sans souffrance et dans une très grande chambre aux murs colorés, éclairés par le soleil, entourée de ma famille et d'amis.
Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence: L'oubli.
Ma devise: "D'où venons-nous? Où allons-nous? Et à quelle heure on mange?" (Woody Allen).



Et en beaucoup plus gros, ça donne quoi ?
Centres d'intérêts: Le cinéma (le plus grand amour de ma vie) * écouter de la musique * lire * les sorties nocturnes * être avec mon chéri * voir mes amis * voyager * faire la fête * écrire * sauter dans une flaque d'eau * manger des cookies et des macarons (et même manger tout court)
Films: Marie-Antoinette # Babel # Virgin Suicides # Eternal Sunshine of the spotless mind # La Science des rêves # Transylvania # Brazil # Cria Cuervos # Lost in translation # The Hours # Death Proof # Edward aux mains d'argent # L'auberge espagnole # Hell # Je vais bien ne t'en fais pas # Paris je t'aime # Elephant # Paranoid Park # Les égarés # Dancer in the dark # Match Point # Le diable s'habille en Prada # Les Témoins # La Môme # Elizabethtown # Garden State # The Truman show # Les Chansons d'amour # Les infiltrés # N'oublie jamais # Le Château ambulant # Requiem for a dream # Tout le monde dit i love you # V pour Vendetta # Little Miss Sunshine # Closer entre adultes consentants # Jeux d'enfants # Walk the line # Le Sixième sens # Trainspotting # Mysterious skin # La Mauvaise Education # Orgueils et préjugés # Hooligans # Joue-la comme Beckham # Star Wars # Spider-man # A.I. Intelligence Artificielle # Roméo + Juliette # Juno # Le Monde de Nemo # Panic room # Shaun of the dead # 30 ans sinon rien # Braqueurs amateurs # Big Fish # Arrête-moi si tu peux # Les lois de l'attraction # Into the wild # Carnets de voyage # Orgueil et Préjugés # Fur # Chroniques d'un scandale
Musique: The Cure * Björk * Vinicius de Moraes * Air * Emilie Simon * The Perishers * The Strokes * Pete Doherty * Daft Punk * Babyshambles * Klaxons * Patrick Wolf * Sean Lennon * Justice * Libertines * Les Rita Mitsouko * Arctic Monkeys * Kooks * Supergrass * Velvet Underground * The Who * Bob Dylan * Beatles * Supertramp * Razorlight * The Chemical Brothers * Jeff Buckley * Joy Division * Queen * Animal Collective * Au revoir Simone * Bowie * Rolling Stones * Dirty Pretty Things * Paolo Nutini * No doubt * Phoenix * Simon & Garfunkel * Aerosmith * Shins * Madonna * FrouFrou * Lily Allen * Killers * Muse * Snow Patrol * New Order * Amy Winehouse * Jamie Cullum * Feist * Charlotte Gainsbourg * The Do * Beirut * Kate Nash * Ben Harper * Smashing Pumpkins * Cat Power * Hard-Fi * Vanessa Paradis * Bonga * Benjamin Biolay * Arctic Monkeys * Bob Sinclar * Cali * Coldplay * Damien Rice * David Guetta * Etienne Daho * Morcheeba * Axelle Red * Franz Ferdinand * Keren Ann * Mareva Galanter * Maroon 5 * Michael Jackson * Nouvelle Vague * Pauline Croze * Radiohead * Raphael * Robbie Williams * Sia * Sebastien Tellier * Sophie Ellis Bextor * The Servant * Zero 7 * Au Revoir Simone
Idoles: Hayden Christensen, Kirsten Dunst, Natalie Portman, Woody Allen, Björk, Nicola Sirkis, Andy Wharhol, Simone de Beauvoir, Boris Vian, Anna Gavalda, Bernard Werber, Edith Piaf, Robert Smith, Seth Cohen, Haley James Scott, Alyssa Milano, Dali, Soprano, Matthew Bellamy, Alejandro Gonzalez Inarittu, Sofia Coppola, Jun Matsumoto, Gael Garcia Bernal, Yves Saint Laurent, Kate Moss
,...


Télégraphez-moi à cette adresse:
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MSN : moranguita-89@hotmail.fr

what we could have been, 10:45.

La Brunette

En bref: Euh/// Mais qu'est-ce qui est sous-entendu par le mot "bref" ? :D Impossible de me résumer en quelques mots... Des livres entiers pourraient suffire, par exemple *D. On va essayer quand même, tout en étant concis.
Je voue un culte passionné pour pleins de choses... J'aime étudier les gens dans les transports en commun, sauter dans une flaque d'eau, avoir les deux accoudoirs au cinéma, quand on me sourit, inventer des mots, manger des pâtes carbo, des fraises tagada, des macarons et des COOKIES (et même manger tout court), avoir un fou-rire, ne pas me lancer des fleurs mais des jardins entiers, le chocolat viennois et le diabolo grenadine, le mot "mignon", les jupes courtes et les talons hauts, avoir l'esprit tordu par moments, arracher l'herbe quand je suis assise, n'expliquer que la moitié des régles lors d'un jeu pour être sûre de gagner, ..
Et puis je ne supporte pas... la banalité, les gens prétentieux et inintéressants (tiens donc, comme tout cela est original!), avoir le nez tout rouge lorsqu'il gèle, me lever tôt, pousser un caddie de supermarché, manger avec plein de monde autour, l'humidité, ma Freebox, le temps qui passe trop vite, les gens qui abrègent trop lorsqu'ils écrivent, supprimer des sms lorsque ma messagerie est pleine,..
"J'suis excessive, c'est une transe exquise"
AIMEZ-MOI C'EST UN ORDRE :D.
Je suis l'inverse du contraire de ce que je pense que vous pensez que je suis réellement pour de faux.
Aérons nos oreilles


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faire ma coloration :D
qu'on m'offre un (vieil) appareil photo
J'aime gambader ici
Avec lui je vais au cinéma Amély Aurélie Butterflydance Claire Emile Un japonais à Rennes Ma musique Marion Cobblestone Forever Young Francisek Sheep World Salad Fingers Le Nuage des Filles Haydeeeen Jolies Choses Première Le paradis du geek-sérial tv *_*
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